À ce jour, le répertoire de CrisÀLeads est de 29 chansons. Nous vous les révèlerons régulièrement ici.
Ces enregistrements n'ont nulle autre prétention que de vous présenter notre travail, avec nos modestes moyens, et vous donner envie de les faire évoluer à votre gré, en vous joignant à nous, ou seul de votre côté. Contactez-nous si l'une ou l'autre de ses chansons vous interpelle...
Que c'est beau dans les yeux des enfants toutes ces lumières qui éclairent les villes en chaque fin d'année. Pourtant, il existe dans certains pays des lumières encores plus vives dans certains pays qui laissent derière elles des visions dantesques de catastrophes générées par les hommes. Oh ! Pays de guerre qu'elles sont tristes tes lumières, dans les yeux de tes enfants.
Ces êtres qui hantent les trottoirs et quémandent pour subsister. Que cherchent-ils en somme ? Peut-être un peu d'écoute pour réchauffer leurs cœurs, beaucoup plus que du pain.
Nos nuits sont peuplées de rêves, mais pas pour tout le monde. Là, ça et là dans des recoins sombres, se trouvent des êtres qui ont « décroché de la vie ». Nul ne sait quels ont été leurs parcours.
Peut-être ont-ils été, un jour, des êtres extraordinaires ? Et s'ils avaient à nous apprendre de leur passé... Ne les condamnons pas.
De tout temps, les soldats partent la fleur au fusil. Dans tous les pays il reste des marques indélébiles des conflits. Ce poème veut être un espoir de voir un jour enfin la Paix gagner et permettre à tous de retrouver leurs amours, mais il restera toujours pour beaucoup, la douleur d'avoir perdu des êtres chers.
Qui donc peut rester insensible à la furie des hommes lâchement assassinés à Charlie Hebdo et en tellement d'autres lieux. Des armes contre des crayons, ceci m'a révolté. Ce poème a été envoyé au journal après cette horreur qui a répondu que ce texte les avait profondément touché. Hommage à tous les morts en « Absurdie ».
Combien d'heure ai je passé dans ce marais salant du Pays de Guérande et de Batz. Il me plaisait, alors que je travaillais dans ce secteur, de respirer et de communier avec la pureté des lieux. Ce chant est un hommage à tous les paludiers qui ont su s'allier à la nature pour en extraire ce grain de vie qu'est le sel.
Mes souvenirs d'enfance, je les ai relaté dans un livre. Je me revois derrière Jean, ce métayer qui ne comptait pas ses heures pour travailler. Il avait l'Amour de la terre, mais cette terre n'était pas sa propriété. Alors, à l'âge de la retraite, après avoir perdu sa femme, il a tout perdu et a définitivement fermé la porte de ce domaine qu'il avait tant chéri.
Bien mal est pris celui qui croyait prendre. Cette chanson est destinée à tous ceux qui inconscients, imaginent que tout leur est du. Mais... au détour du chemin...
On connais « le Belem » à Nantes, mais que pouvait donc faire ce beau voilier, « La Boudeuse », amarré aux quais de la Fosse, depuis si longtemps. C'est la triste histoire de ce monument qui à cause d'un impayé de l'État Français est mis en vente comme une vulgaire coque de noix. Ne pourra t-il donc jamais plus naviguer ?
Traverser la Loire à Nantes ce n'est pas une sinécure. Deux ponts ont donc été jetés en travers du fleuve. Les Haubans, telles les voiles des Penduick d'Éric Tabarly, ont inspiré le poète. C'est en hommage à ce grand navigateur que ce texte a vu le jour.