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« Ma », c'est Marco, que nous appelons le Maestro.
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En 1967, naissait, à Rouen « Le Maestro », issu d'une mère lusitanienne et d'un père, qui n'était pas cordonnier, en botte Italienne. Il naquit donc Normand... par accident.
Très tôt, dès 9 ans, il fut victime d'une saine maladie qui allait orchestrer une grande partie de sa vie, « la musicologie » , musique qu'il n'exerçait pas comme le dit le thème, à son domicile, mais dans une école de musique classique , où lui furent enseignés, entre autre : le solfège, la guitare, l'art de l'orchestre...
C'est alors qu'il complétera ses talents, par la formation d'un duo de guitares - Jazz avec Chris, dit Kiftong Krissox.
Dès lors, la guitare à toujours partagé sa vie; nombres d’états-d’âme ont été traduits par des compositions personnelles, des arrangements ou des chansons. Il a su se montrer pédagogue auprès de ceux qui désiraient apprendre la guitare et à maintes occasions dépanner des collègues férus de cet art.
Il devient breton à 18 ans, en venant passer son BAC à Nantes. C'est alors que le virus le poursuit, il apprend l'accordéon diatonique pour intégrer un cercle traditionnel, et y rencontre « Je », chanteur et danseur, puis parce qu'elle est plus jeunette, « Pa », issue du même groupe.
Il participe à la création d'un groupe de chants de mariniers de la Loire, dont « Je » était l'un des membres, et sera l'un de pilier arrangeur de la première production studio du groupe, par un enregistrement édité à l'époque, en cassette.
Il poursuivra sa passion comme guitariste pour ce groupe pendant une trentaine d'années avec de nouvelles équipes, les pionniers ayant peu à peu laissé la place. C'est ainsi qu'il participera activement à trois productions studio officielles, avec ce groupe.
Les retrouvailles d’amitiés avec « Je » ont mis en évidence des points communs sur le plan artistique, le musicien et l'auteur ont mis ensemble leurs talents et créent, à présent, leurs belles chansons…
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« Pa », c'est Pauline, que nous appelons la Diva.
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Elle naît à Nantes en 1982
Ses balbutiements en carrière artistique, la prédestinaient sans doute à entrer dans notre duo poético-musical.
Elle commença à prendre des cours de chants au Cabaret Studio, ancienne association de chanteurs amateurs, où elle devait parfois se produire sur scène.
Dirigée par Georges Fischer, c'est autour d'un répertoire principalement axé autour de la chanson française qu'elle fera ses premières gammes.
Très désireuse de parfaire sa voix, elle voulut découvrir le bonheur d'exercer dans l'univers de la musique classique, et intégrera à cet effet les chœurs de la « Chorale Allegretto » durant quelques années, dans le pupitre des sopranos.
Elle complètera ses talents par la danse exercée, dans le même cercle celtique de Nantes que « Ma » et « Je », mais pas au même moment, compte tenu de l'âge de l'aîné du groupe actuel. Elle poursuivra cette passion en entrant au Cercle de Clisson, afin de parfaire, si besoin était ses connaissances dans ce domaine.
Par hasard, ou était-ce sa destinée ? Elle entendit « Je » parler de ses écrits et de sa collaboration avec « Ma » le musicien, en vue de la mise en commun de leurs œuvres respectives.
Curieuse, elle s'informait du projet en cours. C'est ainsi qu'elle se proposa de rejoindre les duettistes. « Pa », est heureuse de vivre cette aventure et ses deux compères n'en ont que plus de joie. « Pa » aurait dit-on « entendu sa voix ».
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« Je », c'est Jean-Claude, que nous appelons le Patron.
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Né le 23 juin 1947 à Saint-Brieuc dans les « Côtes du Nord » de parents ouvriers.
Après une vie professionnelle et extra-professionnelle sociale très chargée, Jean-Claude se tourne lors de sa retraite, vers l'écriture. Oh! Ce n'est pas arrivé par hasard parce que le tout premier poème a vu le jour en... 1964. À cette époque il faisait, au collège, partie d'une sorte de « Boys - Band » avec des camarades d'école.
Il exercera ses talents musicaux, comme ténor dans de multiples secteurs, tels que chant choral, chants de mariniers de Loire, animation d'assemblées et aussi le Gospel à Nantes qui à son grand regret ne durera qu'une seule année, le groupe ayant émigré vers la ville d'Auray.
Ajouté au chant, le théâtre et le folklore breton, viendront compléter sa palette artistique.
Aujourd'hui, le « démon » bénéfique de l'écriture lui a permis de rejoindre l'Association des Écrivains Breton.Tour à tour, poète, nouvelliste, romancier et témoin de son temps, il retrouve « Ma », lors d'un concert de son groupe.
Le coup de foudre artistique les électrise et pour répondre à la demande du musicien, il lui transmet, une partie de ses écrits qu'il regroupe dans un unique document non édité « Laissons legs » autrement appelé « Spicilège ».« Ma » s'en saisi et c'est ainsi que commence cette belle aventure.
Un fest-noz viendra bousculer cet équilibre, non sans plaisir, par l'arrivée de « Pa », notre timide, mais prometteuse « Diva ».
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Les autres acteurs du projet.
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Morgane, notre graphiste.
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Née à Maisons-Laffitte dans les Yvelines.
Une vrai passion, je dessinais beaucoup durant mon enfance.
Au collège en découvrant l'univers du dessin mangas, je me suis mise activement à dessiner ceux-ci, tout d'abord en les copiant, puis, après avoir acquis plus d'assurance, en créant mes propres personnages.
À cette influence des mangas sont venues se mêler des influences celtiques et tribales. Ne le dite à personne, je passais la plupart de mes cours et de mes permanences à griffonner, dessiner et esquisser.
Dès le lycée, j'ai tenté de réaliser mes premiers portraits.
Les études, m'ayant imposé une pause, j'ai repris le dessin une fois celles-ci terminées. Mes sujets actuels, bien qu'influencés par les mangas et la culture celtique sont désormais issus de ma vie, de mon expérience et de mes envies.
Bien que n'ayant jamais pris de cours de dessins, j'ai opté pour l'art plastique dès le lycée, dans une recherche plus axée culturellement et par la découverte des différents mouvements artistiques, complétant ainsi le domaine de mes connaissances.
Pour toute demande, vous contacter Morgane à morgane.delafoy@laposte.net
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